L'amour d'un parent.. C'est une chose que nous devrions tous chérir. Je n'ai pas eue le temps de le faire...

0 ans

Ma vie a commencée par un malheur, ma naissance. Ma mère n'était pas assez forte pour créer la vie, mourra peut après ma naissance. Laissant mon père en pleur à ces coter et une fille demandant, criant que l'on s'occupe d'elle. Le médecin me pris tout de suite sous son aile afin de laisser le temps à mon père de pleurer la mort de sa femme.. de ma mère.

De nombreuses minutes, d'heures et de jours passa sans que mon père ne vienne me rendre visite. Les bonnes femmes prenaient soin de moi, me donnant un peu d'amour. Elles n'avaient tout que ma mère était mort et que mon père ne voulait pas voir le monstre que j'étais. La tueuse qui avait pris la vie de la seule femme en qui son cœur chantait, battait la chamade et se serait à chaque fois qu'elle était triste.

Un mois plus tard, quelqu'un vint à l'hôpital pour me voir. Une femme.. une vieille femme au visage rider par les nombreux sourires qu'elle avait montrées pendant de nombreuses années. Une bonne-femme lui demanda d'attendre et parti me prendre dans mon berceau transparent et m'apporta jusqu'à cette mystérieuse femme. Elle me prit délicatement dans ses bras et me colla près de son corps. C'est drôle, mais il émanait d'elle une décharge d'amour que personne n'aurait su décrire et aucun n'aurait pu détruire. Bonjour ma belle, Mamie va désormais s'occuper de toi. Elle me toucha la joue comme pour me réconforter de l'abandon que je ne pouvais pas ressentir à ce moment-là étant trop jeune. Je gazouillais de bonheur et pris son doigt dans mes petites mains.

15 ans

Les bras croisés, je regardais la vitre devant moi. C'était la dixième fois en trois mois que je me retrouvais au Commissariat de polices. J'attendais en regardant ma grand-mère parler avec le Chérif. Il était tard et ma grand-mère n'a sûrement pas dû aimer le fait de se faire réveiller au beau milieu de la nuit. Elle n'avait même pas pris la peine de s'habiller et est venu en pyjama.. Avec de magnifiques schtroumpf la recouvrant. Je ris discrètement.

Soudain, elle se tournait vers moi. Je levais ma main et lui montra un visage désolé. J'eue en retour un regard déçus de sa part. Mon cœur se sera à la vue de ses yeux verts aussi vif avoir cette expression. Elle me fit signe de me lever et vint vers moi. Un jour tu ne pourras plus compter sur moi pour venir te chercher. Je me fais vieille, tu sais. Malgré sa déception envers moi, elle levait le bras et le mis sur mon épaule. Qui s'occupera de toi si je disparais?A-t-elle ajoutée, mais je n'ai pu lui répondre. Grand-mère.. je suis désolée. Je ne peux pas changer ma nature en claquement de doigt, mais je te promets que j'essaierais de faire de mon mieux pour ne plus te décevoir.

Elle me sourit et caressait ma joue. Cette petite grand-mère était l'une des personnes qui croyait en moi. Je me devais de ne plus la décevoir comme je le faisais auparavant.

25 ans

J'étais dans les écuries en train de brosser la vieille Kiwi tout en lui chuchotant de petits mots doux. Quand le travail fut fini, je lui donnais une petite tape sur l'encolure et l'emmena dans le pré pour qu'elle profite de sa retraite bien mérité.
Jusque-là, je ne m'étais pas rendu compte qu'une paire de yeux me regardaient. Ma grand-mère me regardais de la maison en se balançant sur sa petite chaise berçante. Je m'approchais d'un pas de top modèle mettant en évidence la saleté qui me découvrait après avoir vidé les box. Mamie sourit et rit de sa voix rocailleuse abimer par le temps. Tu es magnifique ma chérie, mais tu ne m'as pas toujours facilité la tâche pour ton éducation. Je devais lui concéder ça. Ma précieuse petite vieille ne m'avais jamais abandonnée lorsque j'avais fait des bêtises. L'amour qu'elle m'avait donnée toutes ses années avaient remplacée celle des parents qui auraient dû être présent pour moi, mais ce manque restera toujours marqué dans ma vie.

Arrivant près d'elle, je lui donnais un petit baiser sur le front et m'assis. Nous étions ainsi depuis plusieurs minutes quand elle prit la parole. Tu sais ma chérie, tu ne pourras pas s'épanouir en restant ici. Tout en disant ça, elle fouillait dans sa poche de veste et retirait une petite enveloppe. Grand-mère le regardait puis me le tend avec un gros sourire. C'est un billet pour la France. Je la regardais incrédule. Tu..tu veux que je pars de la maison? Elle rit doucement. Mais non, je veux que tu vives ta vie que tu t'amuses! En restant ici, tu ne le pourras pas. En tant grand-mère, j'ai envie de voir ma petite fille heureuse.

Les larmes aux yeux, je me mis à genou et enlaçais ma précieuse Mamie dans mes bras. C'était la seule femme qui m'avait tous donner. La seule que je considérerais comme ma famille, ma seule famille. Elle se retirait doucement de mon étreinte. En plus, tu pourras exercer ton métier là où je t'envoie. Tu es la meilleure Grand-mère.

La journée d'après, j'étais dans l'avion et regardais par le hublot. La terre ferme s'éloignait de plus en plus en même temps que je laissais ma grand-mère ici. Je touchais la vitre et fermais les yeux pour un dernier au revoir à la ferme. La ferme qui m'avait vue grandir et prendre de mauvaise décision (Que je ferais toujours). Je rouvrais les yeux et souris. Je ne devrais pas pleurer, ma nouvelle vie est devant moi et sera probablement chamboulée par ma visite surprise!

Note d'équitation:
Tessa fait de l'équitation depuis toute petite et adore monter les chevaux à crue comme ses ancêtres le faisait. Elle adore la sensation de liberté que lui procure les courses sur le dos de ces magnifiques créatures. Je ne vous en dirais pas plus, vous le découvrirez lors des rps.