Le moins que l'on puisse dire, c'est que le petit garçon est né dans une famille très aisée, en plein cœur de la Grosse Pomme, et oui New-York ! Il précède sa sœur de 3 ans, son ainée. On peut facilement dire qu'il fait partit des enfants qui vont grandir avec une cuillère en argent dans la bouche et qui ne connaitrons jamais la misère. Chance pour lui, il est né dans une famille riche mais aimante ce qui n'est pas toujours dans cas. Rapidement et comme tous les enfants de son âge, il prend le long chemin de l'école en entrant dans une des plus prestigieuses écoles privées de NY, choisis bien évidemment par ses parents. Mais rien sur lui montrer qu'il riche : de bonnes joues rondelettes, deux gros billes bleus en guise de yeux et un sourire malicieux, un gamin quoi ! Il apprend rapidement que l'échec n'est pas une option pour ses parents et qu'il vaut mieux qu'il travaille si il veut ne pas finir à la porte une fois adulte. Il grandit donc avec une éducation très stricte bien qu'il avait ses petits loisirs pour s'échapper de cette dure réalité. Peu avant son entrer au collège, il développe une véritable passion pour les chevaux, ces grands animaux un peu effrayants à première vue mais tellement gracieux et athlétiques ! C'est donc rapidement qu'il demande à ses parents de l'inscrire dans un centre équestre, histoire d'avoir un vrai loisir en dehors du dessin et du foot qu'il pratiquait déjà depuis deux ans. Quelques jours plus tard, il prend ses premiers cours d'équitation sur un petit Shetland Palomino tout rond du nom de Marshmallow qui lui fait découvrir les joies de l'équitation. Rapidement, ce simple loisir devient une véritable bouffée d'oxygène pour le grand brun qui délaisse de plus en plus ses études pour se consacrer exclusivement à sa passion. Une fois entré au collège, il annonce à ses parents qu'ils veut arrêter les études pour devenir cavalier professionnel mais bien-sûr, ses parents considèrent ça plus comme un rêve d'enfant que comme un réel avenir, c'est pourquoi ils ont resserrés un peu la bride, obligeant le jeune homme à rester dans ses études. Quelques mois plus tard vint sa première compétition de CSO sur un double-poney prêté par son centre, première victoire mais rapidement, le rêve va tourner au cauchemar. En effet, comme chaque chose qu'il entreprend, il n'a pas le droit à l'erreur et son père ayant suivi attentivement les progrès de son fils en équitation décide à la surprise général d'accepter le souhait de son fils ; arrêter les études. C'est ainsi qu'il enchaina les compétitions avec une soif de victoire qui grandissait de jour en jour grâce -ou plutôt à cause- de son père. Rapidement, le loisir qu'était l'équitation pour Larkin devient uniquement un sport où il doit juste suivre une fois de plus les directives de son père, perdant ainsi rapidement tout intérêt réel pour l'équitation : il ne s'occupe même plus de ses chevaux, laissant aux grooms les tâches ingrates, non lui il se contente juste de chausser ses éperons et de monter sur le cheval qu'on lui présente sans se soucier de son bien-être. Ça ne sera que quelques années plus tard qu'il se rendit compte de ce qu'il faisait : comment il avait put laisser son père lui monter la tête à ce point ?! Au départ, il souhaitait juste entretenir une relation fusionnelle avec un cheval et il se retrouver là, n'ayant pas brosser un cheval depuis des lustres. À ses dix-huit, il se décida enfin à dire stop à son père, se supportant plus de sortir tous les week-ends mais surtout, ne supportant plus le stress de la compétition. Coupant définitivement les ponts avec son père, il quitta le domicile familial avant de quitter les États-Unis, voulant découvrir un maximum de pays avant de poser définitivement ses valises afin de reconstruire sa vie. Il commença par les Pays-Bas où il décida d'aller visiter un petit élevage et là, surprise. Sur un coup de tête un peu fou, il décida de s'offrir une petite jument KWPN d'à peine quatre ans, aller savoir pourquoi elle et pas une autre. Il décida ensuite d'aller s'installer en France, dans une petite contrée bien tranquille se qui le changer bien de son enfance à New-York. Bien qu'il comprenait difficilement le Français, il appris assez rapidement à le Français, enfin pas toutes les expressions mais tout de même pas mal. Faisant quelques compétitions avec sa jument pour son plaisir, il oublia cependant presque ce monde, découvrant peu à peu que les chevaux n'étaient pas seulement de grands êtres sans émotions, non, ils étaient au contraire capable d'éprouver toute sorte de sentiments, c'est pourquoi il prit rapidement des cours d'éthologie en compagnie d'un cavalier Français, souhaitant surtout avec une relation basée sur la confiance et le respect avec sa jument. Quelques années plus tard, il apprends la réouverture de Cuadra et évidemment, il n'a pas hésité une seule seconde à rejoindre cette célèbre écurie, aimant plus que tout au monde cet endroit où complicité et douceur sont les maîtres mots.

Histoire & Caractère
Que dire sur la petite alezane ? Déjà, elle est née dans le pays berceau de sa race, les Pays-Bas. Promise à une grande carrière en saut d'obstacles, elle a grandit parmi d'autres poulains aux origines plus prestigieuses les uns que les autres, eux aussi promis à de grands avenirs sur les terrains de compétitions. Elle a vécu comme une petite princesse, choyée et dorlotée afin d'être vendue au meilleur prix. Débourrée une fois sa croissance presque terminée, Liar à commencer les Cycles Libres sous la selle de son naisseur, prouvant ainsi qu'elle avait héritée des compétences de sa mère en saut et de la grâce de son père dans ses allures. Vendue une petite année plus tard, elle a atterrie en France avec un nouveau cavalier, Larkin. De part son enfance auprès de nombreux chevaux et humains, elle a développé un caractère très sociable et pas méchant le moins au monde, au contraire elle sera plutôt du genre à aller à la rencontre des autres chevaux voir même des humains si ça lui chante. Mais attention, on pourrait facilement la confondre avec un étalon. La belle est en effet très compétitrice et très fière, toujours à piaffer dans l'allée pour impressionner son petit monde ou à se donner à fond durant ses entraînements. Elle aime être le centre du monde et avoir toujours plus d'attention ce qui en fait une excellente jument de compétition mais c'est également une jument très douce et plutôt sensible sur les bords, ne supportant pas les cavaliers bourrins ou les accros des éperons. En fait, c'est un peu le cheval idéal qu'il fallait à Larkin afin de sortir de ses mauvaises habitudes et il a appris à ses dépends qu'avec elle, ça se joue surtout sur la confiance. Parfaite pour le complet, elle reste néanmoins très friande de l'éthologie où elle adore courser son cavalier (et où elle sait qu'à la fin elle pourra se rouler, ça y joue beaucoup aussi). En résumé, c'est une parfaite petite jument de concours mais il faut la mériter et sa confiance n'est donner que petit à petit histoire d'être sûre que vous allez correctement la traitez.