Pas besoin de plus de choses pour comprendre qu'il voulait que je retire mon top. Je ne le contredit pas et en quelque seconde je me retrouve en soutien gorge. Celui-ci était rouge surmontait de dentelle noire. Je me rallonge sur le corps d'Andrea et l'embrasse de nouveau. Ma main ce faufile gentiment entre nos deux corps en ébullition et caresse les formes typiquement masculine d'Andrea. Tout en l’excitant je tente de baisser le jean du garçon, mais je suis obligée de me décoller de sa bouche pour mit prendre à deux mains. Je prend les bords de son jean et tire jusqu'au pied pour lui ôter entièrement ce vêtement gênant. Quand son pantalon se retrouve enfin au sol et ses jambes nue, je retourne m'allonger sur lui.
Normalement, dans les films, c'est à ce moment-là qu'on découvre le caleçon à nounours offert par la grand-mère. Fort heureusement pour Andrea, il n'avait plus de grand-mère depuis longtemps. C'est donc tout naturellement que Bella le laissa allongé en boxer rouge, déjà bien déformé par son érection grandissante. Il laissa ses mains baladeuses dégraffer le soutien-gorge, avant de le laisser tomber à terre. Il put enfin profiter entièrement de la jolie vue qu'il avait depuis sa position. Il caressa longuement le corps de la jeune fille, offrant un traitement tout particulier aux seins, qui avaient été lésés en restant cachés. Il les effleurait, appuyant parfois plus ses caresses à certains endroits, parfois moins. Il prit plaisir à lui pincer les têtons, regrettant qu'elle soit trop loin pour ne pas continuer avec sa bouche. Pour compenser, il l'embrassa, mordillant les lèvres de Bella tout en continuant à la caresser soigneusement.
Nos vêtement tombent les uns après les autres au sol, mon t-shirt, son pantalon, mon soutient gorge, il ne nous reste presque plus rien. Mais l’hécatombe continue quand je décide moi même d'enlever mon pantalon. Je n'avais pas prévue de me dévêtir aujourd'hui, mes sous-vêtement n'était pas assortie et je n'avais qu'une petite culotte noire qui me couvrais. Mes genoux s’installe de chaque côtés de ses hanches pour poser ma culotte contre son boxer et qu'enfin nos zone érogène puisse se caresser. Mon buste redressé, je m'amuse à jouer de petit mouvement de bassin pour animer notre excitation. Mes mains ne cessent de se balader sur son corps. L'impatiente me fait me mordre les lèvres. J'avais envie de lui faire péter un plombs avant que l'on passe au choses sérieuse.
Laissant à la jeune fille le soin de retirer son pantalon, il ne peut retenir un gémissement lorsqu'elle commence à onduler au-dessus de lui. Se prenant au jeu, il donne lui aussi de petits coups de bassin de temps à autres, ne pouvant se retenir de gémir lorsque le frottement se fait plus intense. Voulant occuper ses mains comme elle le fait avec les siennes, il s'approche des cuisses de Bella. Commençant alors une série de caresses, il se déplace vers l'intérieur ou l'extérieur de ses cuisses, profitant des secousses qu'il donne pour s'approcher toujours plus de la culotte noire.
La température de nos corps ne cessait d'augmenter en même temps que notre excitation. Ses mains s’approchaient lentement de ma culotte et mon impatience ne fait que s'accentuer. Je prend une de ses mains et la met directement sur ma culotte. J’esquisse un sourire. Ma main poursuit son chemin et se place sous mes fesse pour caresser ses parties intimes qui s’endurcissent de minutes en minutes
Suivant l'approbation de la jeune fille, Andrea glisse une main sous la culotte. De l'autre, il continue à caresser les cuisses de Bella, appréciant à sa juste valeur sa main qui caresse son sexe. Il se mord la lèvre pour éviter de gémir, mais le résultat n'en est que moyennement concluant. Ses doigts vont taquiner le sexe chaud de la jeune fille. Avec un sourire, il guette l'approbation de la demoiselle avant de s'aventurer plus loin.
Il n'en fallait pas plus à la jeune femme pour pousser un petit gémissement. Elle leva la tête au ciel pour profiter de ses doigts qui se trémoussaient dans sa culotte. Elle laisse le jeune homme faire en attendant qu'il prenne les commandes de la situation.
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