Ceux qui avaient été réveillés auraient pu voir ceci se passer mais tout le monde dormait dans les écuries et personne ne vit rien. Il était tôt, tellement tôt que le soleil n'était pas encore levé. Dans la nuit noire, un van s'avança dans la cour. Les fars étaient éteints. La lumière émanait de la lampe de poche que tenait un jeune homme : le directeur. C'était lui qui avait ouvert le grillage du domaine et c'était l'une des première fois qu'il se déplaçait en personne pour accueillir un van. Mais dans ce van il n'y avait pas n'importe qui. Il n'y avait pas un bruit dans l'écurie. Même pas de bruit émanant du van. On pouvait supposer qu'il n'y avait rien dans le van. On le supposait jusqu'à ce que les deux hommes (le directeur et le conducteur) n'ouvre le van et laissent apercevoir la croupe baie d'un superbe cheval. On pouvait supposer ensuite que ce cheval était sous sédatifs. En tout cas ce fus certainement ce que les deux personnes supposèrent car elles ne prirent aucune précautions. A peine la corde fut détachée que le cheval fonça en arrière. Bien sûr la longe échappa des mains du conducteur et le directeur fut renversé en arrière par le cheval. La lampe de poche s'éteignit et on n'entendait que les sabots furieux d'un cheval qui jouaient sur le sol. Le bruit fut de moins en moins présent et finalement se tu. Lorsque la lampe de poche fut rallumée on ne voyait que le directeur assit sur le sol, le conducteur dans le van. Le cheval avait disparut. La porte du domaine était ouverte. Où était il ?

Le matin, lorsque les cavaliers furent réveillés, ils purent tomber sur une annonce de la part du directeur. Cette dernière disait.

Mes chers cavaliers,
Je vous écris aujourd'hui cette annonce pour vous demander à tous de l'aide. Ce matin nous avons perdu un cheval. C'est un cheval bai imposant. Un demi-trait. Il est intelligent, rusé, méchant. Il n'hésitera pas à vous foncer dessus ou à vous mordre pour s'enfuir et sachez qu'il a presque l'intelligence d'un humain. Il a été dressé pour faire des spectacles et la comédie : il l'a connaît. Ce cheval est désormais en liberté et si le propriétaire l'apprend nous pouvons fermer l'établissement. C'est pourquoi je vous demande, mes chers cavaliers, de le retrouver. Faites des groupes de 2 n'y allait pas tous seuls je vous en conjure. Cet étalon n'a aucun respect pour l'homme et a de graves séquelles psychologiques. Faites attention.

Merci d'avance.
Le directeur.

Serez vous de la partie ? Jusqu'où êtes vous prêts à aller pour sauver l'établissement ? Irez vous à la recherche de l'étalon perdu ?